Après 7 ans de pouvoir, le Président Alassane Ouattara inaugurait un métro à Abidjan, des échangeurs, des ponts, des autoroutes, des compagnies aériennes et urbaines et organisait des grands sommets comme celui de l’UE/UA dont plus de 80 chefs d’État et de gouvernements avaient pris part. Tous ça, c’est la somme d’une bonne gouvernance d’un chef d’État qui a le bon sens et que son pays a des très bonnes infrastructures d’accueil.
En 7 ans, Ouattara n’avait jamais ordonné un projet par hasard, comme faisaient certains.
Malgré ses études poussées en économie, et ses expériences d’homme d’état, c’est un président qui écoute et prend ses décisions en commun accord avec les cadres techniques et experts de son pays afin d’adopter des projets rentables et viables pour la Côte d’Ivoire.
Alors que d’autres qui totalisent plus de 27 ans au pouvoir truqué avec des tripatouillages de leurs constitutions en permanence, renoncent en 2015 après des lourds investissements à organiser un sommet de l’Union Africaine dans leurs pays à cause de la chute des cours du pétrole. Ils n’arrivent même pas à organiser un bon conseil des ministres digne d’un pays.
Et en plus, d’autres rêvaient de faire jaillir du lait dans une bourgade lunaire où ils ont vécu une enfance douloureuse, là où même l’eau n’a jamais existé depuis la création du monde.
Je vous fais grâce, de certaines infrastructures qui tenaient à peine une année après leurs fondations et souvent octroyées de gré à gré à des bouffons et des familles proches.
Il n’y a pas des miracles pour bien gouverner ou bien faire !
Toute personne, voulant bien réussir pour le bien être de sa population, pourrait le faire aussi bien après 27 ans de règne, il est temps de mettre de l’eau dans son vin !
Ils pensent qu’ils sont sur le bon chemin, mais, ils ne le sont pas toujours et ils ne les seront jamais.
Bien sûr que oui ! Si la volonté y ait, tout ira. Malheureusement, ils ont encore la haine et le souhait de détruire davantage leurs pays avant de disparaître eux aussi. Mon regard est suivi, j’imagine. Pauvre de nous.
Par Doki Warou Mahamat